Elle me tira vers elle. Je me laissai faire.

Mes mains se posèrent instinctivement sur le bas de son dos ce qui me permis de la coller un peu plus à moi.

- Tu me fais...

Je ne finis pas ma phrase pour l'embrasser fougueusement.

Je répondis à son baiser en me collant davantage à lui, ma main s attaquant aux boutons de sa chemise.

Mon coeur fit un bon dans ma poitrine quand je le sentis sa peau contre la mienne.

- On perd ses mots ...? demandais je dans un souffle.

Je devinais la fin de phrase mais ou on joue ou on ne joue pas.

Je frissonnais en sentant sa peau contre la mienne.

- Tu me fais tourner la tête et en plus, tu joues avec moi.

J'en profitais pour faire remonter mes mains dans son dos. Je dégrafais son soutien-gorge et le fis glisser au sol.

- Je prends beaucoup de plaisir à te faire ... tourner la tête.

Je caressais son ventre.

- Tu n as pas l intention de mettre ce costume demain... n'est ce pas ?

Il hocha la tête négativement.

La veste et la chemise glissèrent à nos pieds, par mes soins.

Je déposais des petits baisers sur son torse.

- Bye bye costume sexy...

Je frissonnais sous ses baisers.

- Meg...

Mes mains glissèrent le long de son dos vers son boxer en dentelle. Mes doigts tiraient doucement sur l'élastique.

Mes lèvres suivaient la courbure des son épaule et remontèrent vers le lobe de son oreille.

- Puis-je où est-ce trop tôt à ton goût ?

J'avais fermé les yeux. Ressentant à fond chaque baiser, la moindre caresse.

Je penchais la tête vers lui, je cherchais le moindre contact.

Je fis glisser son pantalon à ses pieds.

Mes doigts se faufilèrent sous son boxer.

- Est ce trop tôt ?

Je répondis en marmonnant un non à peine compréhensible.

Je continuais l'exploration de son corps avec mes mains et ma bouche.

Elle fis glisser mon boxer.

n'y tenant presque plus, je la soulevais de façon à se qu'elle passe ses jambes autour de ma taille.

Je m'emparai de ses lèvres et me dirigeais vers le lit sur lequel je la déposais lentement.

Le reste se passa de mots hormis des mots d'amour et de plaisir, des éclats de rire...

Dick était étendu sur le dos je savais qu il ne dormait pas. Sa main carssait ma hanche.

Je relevais le nez vers lui et lui souris avant de déposer un baiser au coin de ses lèvres pour le faire enrager.

- A quoi pense mon Dick ? demandais je en m appuyant sur son torse pour continuer à le voir.

Je grognais légèrement.

- A toi... A quoi voudrais-tu que je pense d'autre.

Je ne bougeais pas d'un pouce très bien dans la position dans laquelle j'étais.

- Je ne sais pas ...

Je dessinais les traits de son visage avec mes doigts, j aimais faire ça et le voir suivre doucement le mouvement avec sa tête. Il était détendu, et avait ce petit sourire désormais familier.

Je me calais contre lui respirant à fond l odeur de sa peau. Tout à coup je repensais à un truc.

- Tu me trouves fil de fer ?

J'étais bien quand elle posa une question pour le moins inattendu.

- Quoi ? Fil de fer ?

Je me retournais pour la regarder dans les yeux.

- Qui t'a dit une bêtise pareil ? Tu es magnifique !

- Bavardage de filles ...

Il secoua la tête. Je me calais sur lui.

- Je posais juste la question au principal intéressé ...

- Surtout, ne change rien. Je t'aime telle que tu es et je ne veux pas que tu te mettes des choses en tête.

Je la serrais contre moi.

- Ne t'inquiète pas pour ça! On parlait juste de nos formes respectives avec Lilly, un truc de fille ... pour une histoire de robe...

Je vis une drôle de lueur dans ses yeux.

- Sans commentaire ! Je le détaillais effrontément.

- Tu n'es pas mal non plus ...

Je souris ne pouvant plus rien dire.

Je levais un sourcil.

- Tu trouves ? dis-je en imitant la voix d'une fille.

- Tu me trouves pas trop grosse ?

Je lui balançais un coup de coussin.

- Tu n'es pas crédible en fille ! Poitrine trop plate et Tu as trop de poils aux jambes !

Il me fit basculer sur le lit, je ris aux éclats.

- Tu as aussi une barbe naissante... dis je doucement en caressant son menton.

- je vais la laisser pousser.

Je souriais devant son air septique.

- Quoi ? je te plais pas avec la barbe ?

Je commençais à la chatouillais.

Elle gigotait dans tous les sens pour se libérer de mon emprise.

- Je ne résiste pas de t'avoir à ma mercie.

Il me chatouillait, s amusant de me tenir prisonnière.

- Tu me plais avec la barbe d un jour, mais hors de question que tu te mettes dans l idée de ressembler au capitaine Haddock !

Je le fis tomber sur moi pour pouvoir me caler contre lui.

- Il te tarde demain? demandais je en pensant au bal.

Je me demande s 'il danse.Remarque question bête, rien qu à voir comment il évolue en société. Et puis on a reçu la même éducation, enfin plus ou moins.

J'arrêtais de la chatouiller en tombant doucement sur elle.

Je me soulevais légèrement pour la regardais dans les yeux.

- Il me tarde surtout de voir la plus belle femme de la ville dans sa belle robe.

Je lui donnai un baiser.

- La plus belle femme à tes yeux ...

Je luivolais un tendre baiser.

- Et c'est amplement suffisant.

Je lui souris.

- Des pronostics sur la robe ?

Je lui souris.

- Pas qu'à mes yeux à mon avis mais bon, je vais pas faire mon jaloux.

Je lui volais un autre baiser pas rassasier avec celui qu'elle venait de me donner.

- Hum alors je vois bien une robe noire très décolletée, cintrée à la taille, longue, très longue...

Je souris, amusée.

- looooooooooongue?

Je lui volais un autre baiser, tendre.

- au fait je t ai fait des cachotteries. tu ne devineras jamais ! Lançais je plus réveillée que jamais

- Oui très très longue... Personne d'autre que moi n'aura droit à voir ses belles jambes.

Je lui fis un clin d'oeil tout en lui caressant la cuisse.

- Des cachotteries ? Je suis trop curieux pour ça ! Alors dis-moi tout.

Je me redressais sur le coude.

- alors interdiction des jupes courtes mais pas des grands décolletés ? J arquais un sourcil avec 1 demi sourire, l air de dire c est qu il n y a rien à cacher de ce côté là ?

- Je ne sais pas si je vais tout te dire.... Complétais je avec un air mystérieux en me calant dans les oreillers, le mien et celui que je lui avais chipé.

- Le décolleté m'est exclusivement réservé quand tu es dans mes bras lui dis-je un sourire coquin aux lèvres.

- Tu ferais ça à ton Dick adoré ?

Je pris un air et une voix de chien battu pour qu'elle ait pitié de moi.