J'avais angoissé l'espace d'une seconde en remarquant que c'était à moi puis j'avais inspiré un grand coup et reprit mes esprits.
A quoi bon stresser ? Cette soirée aller être fantastique.
Je m'approchai de l'escalier et entreprit ma descente, la tête haute, un léger sourire sur les lèvres. Je descendis quelques marches avant de continuer les yeux fixés dans ceux de mon cavalier.