Dick se sentait un peu mieux après avoir discuté avec Logan. Les 3 derniers jours avaient été éprouvants.

Trop.

Il avait compris la réaction de LOgan par rapport à Meg mais avait été en colère malgré tout. LUI il le connaissait.

Ce point était réglé.

Maintenant il était appuyé sur le capot de sa voiture. Il voyait Meg, assise sur la plage, les vagues s'écrasant à ses pieds.

Devait il aller la voir ?

Rien qu'à la voir il aavait envie de ...

J'étais appuyé sur le capot de ma voiture sur le parking de la plage. Je regardais Meg, assise sur la plage.

J'avais envie de la serrer dans mes bras, de l'embrasser mais j'hésitais à aller vers elle ne sachant pas comment elle allait réagir.

Je me décidais malgré tout à y aller, je tenais trop à elle pour renoncer.

Je m'approchais doucement.

- Salut... Lui dis-je timidement.

Elle sursauta surprise.

Je m'étais assise sur la plage, à la limite de l'eau. Je voulais réfléchir mais je connaissais déà les réponses et ça fait mal ...

Tout à coup je l'entendis. IL était là. J'en sursauté.

Je me rendis compte que mon jean avait pris l'eau, des larmes avaient du couler sur mon visage et avec le vent mes cheveux détachés, devaient partir dans tous les sens.

OH LA LA !!!

Je passais rapidement mes mains sur mes joues.

- Salut ... Réussis je à articuler avant qu'il ne pense que je le snobe.

Depuis combien de temps était il là?

Je n'osais la regarder. Mes yeux étaient rivés sur mes pieds.

- je ne voulais pas te faire peur seulement te parler.

Je relevais lentement la tête. Mes yeux se posèrent instatenement sur les siens. Ils étaient humides et rouges. Elle avait pleurer. Mon cœur se serra a l'idée que ça pouvait être a cause de moi.

- je peux m'aSsoir ?

A t il peur que je le chasse?

Je me décalais pour ne plus avoir les jambes a l eau avant de repasser une main distraite sur ma joue.
Merde le sable.
Quel tableau je dois donner! Hum faisant comme si de rien ...

- bien sur !

Je m’essayai à ses côtés et la regarda. Elle avait du sable sur sa joue. Instinctivement, j'approchai ma main et lui effleura la joue pour lui ôter ce sable. Un frisson me parcouru et je reculai ma main rapidement, un peu gêné.

- tu as du sable sur la joue. Lui dis-je doucement.

Je ne sais pas pourquoi mais j'avais peur de l'effrayer.

Je m'étais retenue de fermer les yeux pour savourer cette caresse éphémère.
- oui ... Répondus je un peu absente.

Je portais machinalement ma main a ma joue... Les doigts encore plein de sable.

- oh... Je n osais pas le regarder en face, j avais peur de lire ce qu il pensait de moi dans ses yeux.

- tu avais besoin d' air apres cette... Matinée?

Elle se remis du sable sur la joue. Ma main me démanger pour le lui enlever mais je me retiens.

- Oui et non... Ce n'est pas d'air que j'avais besoin...

Je restais évasif. Je ne pouvais pas lui dire de but en blanc que c'est d'elle que j'avais besoin. De la toucher, de la sentir dans mes bras.

- ah ...

Je lui Fis un sourire en coin.
J aurais voulu effacer ces 3 derniers jours.

Une telle stupidité c est rare!

- Dick ... Commençais je, hésitante.

Je ne svais pas comment continuer, je me décidais a relever les yeux. Je les sentais qui piquaient.

Jela regardais hesitante

- oui...

Comme elle pouvait me manquer. Ses yeux se poserent sur moi. Elle etait sur le point de pleurer mais essayait de le cacher. Ca me faisait mal. Je voulais savoir ce qu'elle etait sur le point de me dire.

- Tu peux tout me dire tu le sais. Meme si ca risque de faire mal.

- je ... Je me demande si je ne me suis pas trompée... Commençais je la mine basse.

J avais peur, peur d avoir eu raison et de me tromper maintenant, peur de sa réaction ...

depuis quand c est aussi dur de respirer?

Je la regardais incrédule.

- Te tromper à propos de quoi ?

Je m'attendais à tout sauf à ça.

Je le voyais froncer les sourcils, je n osais vraiment pas le regarder en face.

- et bien je ...

Je me mordus l'esclavage et me passais les mains dans les cheveux.
Puis je soufflais.
Il me regardait les traits tires.

- hum...

Un peu de courage.

- en arrivant j ai entendu Connor... Tu disais rien et ... J avais cette douleur... Cette colère... Et...

J avais débute ca comme un boulet de canon et fermais les yeux. J avais l impression d' être une condamnée attendant de savoir s il allait finir a l échafaud !

Elle parlait, enfin des mots sortaient de sa bouche mais je ne comprenais rien.

- Euh... Meg tu devrais te calmer et essayer de me répéter ça calmement, je ne comprend rien.

Par pur réflexe et pour la calmer, je passai mon bras autour de ses épaules. Réalisant ce que je venais de faire, j'eu un mouvement comme pour l'ôter mais, finalement, je me suis dit que j'allais le alisser là tout simplement parce que j'en avais envie.

Je fermais les yeux en me laissant aller contre lui, respirant son parfum.
Pendnat quelques instants je m imagina qu'il m'aimait, que tout allait bien. Puis je me fis violence pour revenir à la réalité.

Il me regardait, sourcils froncés.

- Quand je suis arrivée l autre jour pour déjeuner, tu étais avec Connor et il te disait que je ... Que je n'étais qu'une ... et toi tu ne disais rien et je ne sais pas j'ai senti mon coeur s ecrasait au sol et cette colère et ...

Je m'arrêtais net devant son expression. Il avait les yeux plissés, ses yeux d orage ...

Mais que pouvait il penser de tout ça ?

Je me concentrais sur ce qu'elle était entrain de me dire. Mes yeux devaient lancer des éclairs.

- Tu ne m'adresses plus la parole, tu m'as fit cette scène au déjeuner parce que je n'ai pas répondu aux débilités que pouvait débiter Connor.

Je la fixais essayant de me calmer.

- J'ai subi des jours de tortures à cause de lui, de ça. Je pensais que tu me connaissait mieux mais apparemment pas.

J'étais vexé et m'en prenait à elle bien que mon coeur me dise le contraire.

Ce qui devait arriver arriva.
C'était la 1e fois fois que je le voyais en colère. Instinctivement je m'étais levée et écartée pour mettre de la distance. Vieux réflexe ...
- Et bien la prochaine fois soit tu le vires soit tu l'écoutes, ça d'évitera de hocher la tête quand il te demandera qi t'as parié pour me mettre dans ton lit !

Les vannes s'étaient ouvertes, les larmes et ce que j aurais du lui dire depuis déjà 3 jours.

- Tu aurais réagi comment toi si tu m avais entendu parlé sur toi comme ça avec ... avec ... Je cherchais mes mots.

- Stupide Meg ! je me frappais le front.

- Ca ne risque pas vu que je suis qu'une cruche! e n'ai droit qu'aux : Meg tu leur à préparer un bon diner ? Meg tu es aux petits soins avec Dick il faut qu'il soit en forme pour ses à cotés ? Meg et le blond à quand le brun ?...

Il me regardait toujours sceptique bien que la machoire un peu moins serrée. Il semblait découvrir aussi les collibées.

- Je te connais mal ? T'as vécu une torture ? Et quoi ?!J'avais crié ces deux derniers mots. J'étas partie sur ma lancée impossible de m'arrêter.

- Tu crois que j ai passé 3 jours au spa ? Logan a pratiquement forcé ma porte hier... Tu n'avais qu'à le faire toi, Monsieur le torturé !!! Mais c'est vrai que je ne te connais pas ... soufflais je finalement. Je ... Tu ...
La machine s'était enrayée.
Je me sentais faible et plus mal encore.

Je secouais la tête et commençais à reculer en croisant les doigts pour que mes jambes me portent assez loin, de sa colère de tout ce merdier.

Au fur et à mesure qu'elle débitait tout mes mâchoire se décrispaient jusqu'à ce qu'elle parle de tous les collibées qu'on pouvait lui dire.

- Je ne voulais pas m'énervé, je voulais te montere que j'avais changé. Qu'à tes côtés j'avais évolué. Et voilà ce que j'ai récolté. Je pensais que tu ne voulais plus de moi. Comment voulais-tu que je vienne te déloger de ta chambre alors que j'étais dans la casi-même état que toi ?

Voilà ce que je récoltais à avoir voulu être un mec bien à ses yeux.

- Je ne savais pas pour tout ce qu'on pouvait te dire.

Je la voyais reculer et me dis qu'elle devait revoir son père dans ma colère qui commençait à se tarir.

- Je suis désolé de m'être énervé Meg mais, ça a été plus fort que moi de voir qu'on ne s'est pas parlé depuis des jours pour une bétise pareil.

Je me rapprochais doucement d'elle, comme pour apprivoiser un chaton effrayé. Je réussi à suffisamment m'approcher d'elle, bien qu'encore toute tremblante, pour lui caresser sa joue.

- Arrêtes de trembler Meg, s'il te plait. Je peux tout supporter sauf te voir dans cet état à cause de moi.

Je ne m'étais pas rendue compte que je tremblais,pas à ce point du moins.

J'osais à peine relever les yeux. Malgré le soleil j'étais gelée et je me sentais lasse tout à coup.

J'aurais tellement aimé que tout ça soit derrière nous. Bien sûr que non! Une harpie ! Et ta cervelle elle était passée où? Il aurait bien raison de me tordre le cou.

C'était probablement fini ...

Je sentis sa main douce sur ma joue.

- Je... Peut être bien que je ne suis pas à la hauteur de tous lesefforts que tu as fait... Murmurais je.

Elle me faisait penser à une petite fille triste et pas sûre d'elle.

- Tu es très bien comme tu es Meg.

Je me rapprochais un peu plus d'elle.

- Regardes moi Meg.

Je lui soulevai doucement le menton.

- Tu dis que tu n'es pas à la hauteur de tous les efforts que j'ai fait mais je trouve que tu as fait le plus gros de tous.

La voyant qui ne comprenait pas de quoi je parlais, je lui dis :

- Tu m'as accepté tel que j'étais dès le départ alors que tu savais la réputation qui me suit.

Je relevais enfin les yeux vers lui.
L intensité de son regard me captiva, ses yeux avaient désormais une drôle de nuance de gris.

- Je t ai vu comme tu t es montré... Je te signale que c est toi qui m a apprivoisé, qui m a servi d' appui tête, qui m a fait rire ou écarquiller les yeux avec tes comptes rendus de soirée...

Je remuais mon pied dans le sable. J'avais souri mais il s effaça.

- Et puis j ai tout gâché ... Je ... Peut être que j'ai trop de casseroles pour ...

Avoir une vie normale ou ... avoir la chance d'être avec toi.

Je la regardais sourire quand celui-ci s'effaça. Son pied faisait des aller-retours dans le sable.

- Tu n'as rien gâché Meg. On peut encore tout rattraper si tu en as envie bien sur. Et, tes casseroles comme tu dis et bien on peut vivre avec.

Elle est si belle quand elle est triste mais ça me fait mal au coeur de la voir comme ça.

Je relevais les yeux vers lui.

- Oui ...? Demandais je timidement.

Je me retenais de lui sauter dans les bras. J'avais envie de nicher mon nez dans son cou, de sentir son parfum.

Je lui pris la main et lui murmura.

- Bien sûr qu'on peut, je ne demande que ça.

Je la tirais légèrement vers moi et la blottie contre mon torse.

- Si tu savais comme je rêvais de te serrer simplement comme ça dans mes bras.

Je posai mon menton sur le haut de son crane et soupirai.

J'accrochais mes bras autour de sa taille, je me cramponnais presque.
Je crois que je n'avais jamais eu autant mal.

Puis je me détachais me rappelant soudain mon état.

- Je suis toute sale! Fis je avec un sourire en coin.

Et c'est le moins que l'on puisse dire ma fille, du sable partout et probablement des yeux à la panda vu comme ils piquent!